| Titre : | A new species of Anomaloglossus (Anura: Aromobatidae) of the stepheni group with the redescription of A. baeobatrachus (Boistel and de Massary, 1999), and an amended definition of A. leopardus Ouboter and Jairam, 2012 |
| Auteurs : | Antoine Fouquet, Auteur ; Jean-Pierre Vacher, Auteur ; Elodie A. Courtois, Auteur ; [et al.], Auteur |
| Type de document : | article scientifique |
| Editeur : | Auckland : Magnolia press, 2019 |
| Collection : | Zootaxa, ISSN 1175-5326, num. 4576 (3) |
| Format : | p. 439-360 / ill. en coul. |
| Langues: | Anglais |
| Catégories : |
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| Tags : | endotrophie |
| Résumé : |
Traduction : Anomaloglossus est un genre de grenouilles riche en espèces, endémique au bouclier guyanais, qui abrite encore plusieurs espèces non nommées.
Au sein du groupe d'espèces A. stepheni (qui comprend quatre espèces nominales valides), A. baeobatrachus a un statut taxonomique incertain, notamment parce que l'holotype était un spécimen non découplé décrit dans une revue populaire. Un autre membre de ce groupe, A. leopardus, n'a été que superficiellement décrit, manquant d'informations sur le sexe des spécimens de la série type et sur le cri de l'annonce. Par conséquent, ces deux taxons nécessitent des clarifications afin de permettre la description des espèces existantes non décrites. Dans cet article, nous redécrivons A. baeobatrachus sur la base de matériel nouvellement collecté dans la localité du type de l'espèce et fournissons des informations sur son écologie reproductive. Nous fournissons également une définition modifiée de A. leopardus en utilisant du matériel nouvellement collecté dans sa localité type. Ces deux espèces forment un clade avec une troisième espèce de l'est du bouclier guyanais, qui est une espèce à part entière également décrite dans ce document. La biologie de la reproduction de A. baeobatrachus et A. stepheni est très similaire. Les deux espèces ont des têtards endotrophes et nidicoles, malgré leur parenté éloignée, ce qui suggère une évolution indépendante de ce mode de reproduction. La nouvelle espèce et A. leopardus, par contre, ont des têtards exotrophes. |
