| Titre : | Droit et biopiraterie. Contribution à l'étude du partage des ressources naturelles. |
| Auteurs : | Loïc Peyen, Auteur |
| Type de document : | thèse |
| Editeur : | Saint-Denis : Université de La Réunion, 2017 |
| Format : | 1 vol. (619 p.) |
| Note générale : |
Thèse de doctorat en droit public. Présentée et soutenue publiquement le 30 mai 2017 à l’Université Toulouse 1 Capitole. Dirigée par M. Éric NAIM-GESBERT.
Jury : M. Philippe BILLET (rapporteur), M. Jochen SOHNLE (rapporteur), M. Jean-Marc SOREL (examinateur), Mme Pascale STEICHEN (examinateur). Cette thèse a donné lieu à une publication en 2018 par LGDJ, une marque de Lextenso à Issy-les-Moulineaux. |
| Langues: | Français |
| Catégories : | |
| Tags : | biopiraterie ; bien commun ; communautés autochtones et locales ; savoirs traditionnels |
| Résumé : | Sources de convoitises, les ressources naturelles font parfois l'objet d’actes de prédation tels que la biopiraterie. Le phénomène, de plus en plus médiatisé, mais encore largement sous-étudié, est souvent dénoncé comme un véritable pillage des ressources naturelles. En fait, même si elle recouvre une réalité plurielle, la pratique de la biopiraterie peut être caractérisée comme un accaparement des ressources naturelles. Saisie comme telle, il est permis de comprendre comment elle est née et a évolué, ce qui est du plus grand intérêt pour son appréhension. Aussi, parce que la biopiraterie interroge les modalités de partage des ressources naturelles, elle contribue à un renforcement des dimensions solidaristes du statut juridique de ces ressources. Cependant, si des règles existent, elles ne sont pas pleinement satisfaisantes. Cette situation invite à une réflexion plus globale sur le statut juridique de l'environnement et conduisant à le considérer, juridiquement, comme un bien commun. (résumé d'auteur) |
