Titre : | Phylogeographic and conservation genetic analysis of the Black Caiman (Melanosuchus niger) |
Auteurs : | William Rangel Vasconcelos, Auteur ; Tomas Hrbek, Auteur ; Ronis Da Silveira, Auteur ; [et al.], Auteur |
Type de document : | article scientifique |
Editeur : | Hoboken : Wiley-Blackwell, 2008 |
Collection : | Journal of Experimental Zoology, ISSN 2471-5646, num. 309A |
Format : | p. 600-613 |
Langues: | Anglais |
Catégories : |
[Ecoplanète] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS > 0102 - ETRES VIVANTS > FAUNE > ANIMAL > REPTILE [Ecoplanète] 0200 - ENVIRONNEMENT > 0202 - GESTION ET PROTECTION DE LA FAUNE ET DE LA FLORE > CONSERVATION GENETIQUE |
Tags : | caïman ; phylogéographie |
Résumé : |
Traduction : Nous avons évalué la distribution spatiale de la variabilité génétique de Melanosuchus niger provenant de 11 localités d'Amérique du Sud en utilisant 1 027 paires de bases du gène mitochondrial du cytochrome b. En examinant 132 animaux, nous avons trouvé 41 haplotypes, des valeurs élevées de diversité génétique, de faibles valeurs de diversité nucléotidique et des déviations significatives par rapport à l'attente neutre des fréquences alléliques dans certaines localités.
Le test de Mantel et l'analyse des clades emboîtés ont indiqué que l'isolement par la distance était une dynamique de population importante pour l'espèce dans son ensemble. Les analyses des indices de fixation de Wright ont montré que les populations hydrogéographiquement séparées de la Guyane française ainsi que la population de l'état d'Amapa au Brésil sont génétiquement différenciées de toutes les autres populations qui se trouvent dans le bassin de drainage de l'Amazone. Ces indices ont également révélé que la population de l'Équateur est génétiquement différenciée par rapport aux populations du Brésil, du Pérou et de la Guyane française. Au sein du bassin amazonien, la différenciation est faible et les distances génétiques et géographiques ne sont pas corrélées. Les données démographiques ainsi que les données génétiques des populations suggèrent que M. niger se rétablit dans certaines régions protégées. Cependant, une partie de ce rétablissement apparent pourrait être due au déplacement d'animaux vers des régions protégées. |