| Titre : | Cattle depredation by puma (Puma concolor) and jaguar (Panthera onca) in central-western Brazil |
| Auteurs : | Francesca B.L. Palmeiraa, Auteur ; Peter G. Crawshaw Jr, Auteur ; Claudio M. Haddad, Auteur ; [et al.], Auteur |
| Type de document : | article scientifique |
| Editeur : | Amsterdam : Elsevier, 2008 |
| Collection : | Biological conservation, ISSN 0006-3207, num. 141 |
| Format : | p. 118-125 |
| Langues: | Anglais |
| Catégories : |
[Ecoplanète] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS > 0102 - ETRES VIVANTS > FAUNE > ANIMAL > FELIN [Ecoplanète] 0700 - AGRICULTURE > 0703 - PRODUCTION ANIMALE - ELEVAGE > BETAIL [Localités] Brésil |
| Résumé : | Traduction : Dans cette étude, des données sur la déprédation du bétail par le puma (Puma concolor) et le jaguar (Panthera onca) ont été enregistrées pendant six ans (1998-2003) dans un ranch de bétail du centre-ouest du Brésil. La déprédation a représenté 18,9% de la mortalité totale du bétail, avec une prédominance sur les veaux. En termes de biomasse, les animaux tués représentaient 0,4 % (63,8 kg/km2) du stock annuel du ranch. En termes de pertes économiques, les animaux tués représentaient 0,3 % de la valeur du stock de bétail. La déprédation était principalement associée à la classe d'âge et à la localisation du bétail, ainsi qu'à la date de naissance des veaux. La proportion de pâturages proches de la forêt avec déprédation (n = 33, 48,5%) ne se distinguait pas de la proportion de pâturages non proches de la forêt avec déprédation (n = 35, 51,5%). Toutefois, la proportion de pâturages jouxtant une forêt avec déprédation représentait 54 % (n = 33) des 61 pâturages totaux qui étaient au moins partiellement entourés de parcelles de forêt ou de forêts riveraines qui constituaient huit blocs de continuum de fragments de forêt de différentes tailles dans le ranch et les zones adjacentes. Aucune tuerie n'a eu lieu dans la partie centrale (maison principale) de l'exploitation, près du siège social où les pâturages ne bordent pas la forêt. Les distances des tueries par rapport aux zones de forêt indigène étaient de 1317,48 ± 941,03 m. Afin de réduire les déprédations, il convient de maintenir les veaux aussi loin que possible des zones forestières et d'encourager la concentration des périodes d'élevage et de vêlage. |
