Titre : | Predicting diversity of juvenils neotropical fish communities: pacth versus habitat state in floodplain creeks |
Auteurs : | Sylvie Mérigoux, Auteur ; Bernard Hugueny, Auteur ; Dominique Ponton, Auteur ; [et al.], Auteur |
Type de document : | article scientifique |
Editeur : | Berlin : Springer, 1999 |
Collection : | Oecologia, ISSN 0029-8549, num. 118 |
Format : | p. 503-517 |
Langues: | Anglais |
Catégories : |
[Ecoplanète] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS > 0101 - ECOLOGIE > ECOLOGIE > HABITAT NATUREL [Ecoplanète] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS > 0102 - ETRES VIVANTS > FAUNE > ANIMAL > POISSON [Ecoplanète] 1400 - EAU > 1403 - EAUX DE SURFACE > EAU DE SURFACE > EAU DOUCE |
Résumé : |
Traduction : La richesse en espèces des communautés devrait largement dépendre de la variabilité de l'habitat et/ou de l'état de l'habitat. Nous avons évalué la capacité de la variabilité et l'état de l'habitat à prédire la diversité des communautés de poissons néotropicaux juvéniles dans les ruisseaux d'une plaine alluviale. La faune de jeunes poissons comprenait 73 taxons, et les échantillons étaient bien répartis sur une large gamme de variabilité temporelle et spatiale pertinente de l'habitat.
Nous n'avons pas été en mesure de démontrer des modèles clairs de richesse en relation avec la variabilité temporelle et spatiale de l'habitat (si les variables d'état de l'habitat n'étaient pas incluses), quelle que soit l'échelle de variabilité temporelle, le regroupement des sites (les sites en amont et en aval différaient dans les modèles de variabilité temporelle), les unités taxonomiques ou les stades de vie considérés. En utilisant la régression multiple pas à pas, 36% de la variance de la richesse des espèces a été expliquée pour toutes les données, et au mieux 47% a été expliquée pour toutes les unités taxonomiques sur les sites en amont en utilisant la variabilité temporelle et spatiale de l'habitat et l'état de l'habitat (longueur des berges, largeur moyenne, niveau d'eau moyen avant la pêche et/ou turbidité de l'eau). À l'aide de simulations de Monte Carlo, nous avons prédit à l'aveugle 31 % (toutes les données) et au mieux 37 % (tous les taxons en amont) de la variance observée de la richesse spécifique à partir de ces types de modèles. Cette précision limitée est probablement due au fait que les espèces rares ont produit la plupart des modèles de richesse dans nos ruisseaux. La prédiction de ces espèces rares est généralement difficile pour diverses raisons, et peut constituer un problème dans de nombreux types d'écosystèmes. (résumé d'auteur) |