Titre : | Distribution and diversity of primates in Guyana : species-area relationships and riverine barriers |
Auteurs : | S.M. Lehman, Auteur |
Type de document : | article scientifique |
Editeur : | Berlin : Springer, 2004 |
Collection : | International Journal of Primatology, ISSN 0164-0291, num. 25 (1) |
Format : | p. 73-95 / cartes |
Langues: | Anglais |
Catégories : |
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Tags : | primate ; niche |
Résumé : |
Les relations espèces-zone prédisent qu'il existe une relation positive entre le nombre d'espèces et la taille d'une zone. Il a été suggéré que la richesse des espèces variera avec la zone parce que les zones plus vastes ont une plus grande diversité d'habitats. De plus, la diversité de l'habitat peut fonctionner en conjonction avec les barrières fluviales pour influencer la biogéographie des primates. Peu d'études ont déterminé si et comment ces hypothèses sont liées à la diversité des primates en Guyane.
our tester ces hypothèses biogéographiques, j'ai utilisé les données de 1725 km d'inventaires de primates que j'ai menés en Guyane. J'ai estimé les aires de répartition géographiques pour chacune des 8 espèces de primates via un système SIG. La taille de l'aire de répartition géographique est un déterminant majeur du nombre d'observations des 8 espèces de primates. La diversité des espèces de primates est fortement corrélée négativement avec le nombre de rivières traversées se déplaçant dans le sens des aiguilles d'une montre de l'est au nord-ouest de la Guyane. Les zones interfluviales et d'habitat influencent la diversité des espèces de primates en Guyane. Cependant, mes données sur la biogéographie des primates en Guyane ne soutiennent pas l'hypothèse selon laquelle la diversité des habitats dans les zones interfluviales affecte la diversité des primates. Bien que la relation espèce-aire soit considérée comme la chose la plus proche d'une règle en écologie, les chercheurs doivent se garder d'appliquer et d'accepter trop facilement le modèle à toutes les échelles dans les études biogéographiques. |